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que cette vascularisation ne soit pas suffisante pour une
bonne vitalité du transplant. Cela débouche sur une
nécrose gastrique
. Dans ce cas le rétablissement
immédiat entre l’œsophage et l’estomac ne sera pas
possible et il sera nécessaire de remplacer l’estomac par
le colon secondairement.
-‐
Un
traumatisme du nerf récurrent
lors de la libération
de l’œsophage, pouvant être responsable de troubles de
la déglutition et de la voix.
-‐
Une
section du canal lymphatique
autour de
l’œsophage, souvent révélée par l’émission d’un liquide
blanchâtre (de la lymphe) au niveau des cicatrices.
-‐
Une fuite d’air importante au niveau de la trachée ou
des bronches doit faire suspecter une plaie de l’arbre
bronchique appelée
fistule trachéo-‐bronchique
. Elle
peut passer inaperçue pendant l’intervention.
-‐
Certains risques peuvent être inhérents à l’anesthésie
générale (comme une
embolie pulmonaire, une attaque
cérébrale, un infarctus, ou une paralysie d’un membre
par compression nerveuse
).