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Faut-‐il avoir peur du PAC ?
Une utilisation du port à cath bien codifiée par des
infirmières d’oncologie rompues à ce type de matériel,
ainsi qu’une technique opératoire rigoureuse lors de la
pose par des chirurgiens expérimentés évitent
grandement toutes complications. De plus la technique
de pose sous anesthésie locale permet de minorer les
risques.
La Clinique Saint-‐Pierre étant un site référent en
cancérologie, il est donc posé dans la structure entre
350 à 400 ports à cath par an. La technique de pose est
de ce fait parfaitement protocolisée.
Il est actuellement démontré que le « bénéfice –
risques » des port à cath justifie amplement leur mise
en place.
A la fin de la chimiothérapie selon la décision de votre
oncologue, ou à votre demande, le cathéter et la
chambre seront retirés sous anesthésie locale. Un
cathéter veineux central peut être laissé en place sans
risque majeur
.